dimanche 18 août 2013



Parce qu'au commencement était le verbe, parce que les choses sont belles dans leur essence, loin des mots les identifiant mais qu'elles s'impriment dans nos consciences que lorsqu'on les nomme et les raconte.

Les livres confinent à nos existences une dimension traçable et concrète qu'elles n'auraient pas sinon, condamnées à des brouillons opérés sous contraintes.